18 avril 2010

Carrière et mutations

Le scandale de l’affectation des stagiaires à la rentrée 2010 : ce qui est prévu dans d’autres académies

Mise à jour du 25 avril

ORLEANS TOURS

Nouveaux éléments concernant les stagiaires à plein temps :

1/ Affectations

sur postes vacants (sur postes définitifs) : 83 % (et non 2/3 comme annoncé précédemment) = 275 postes retirés au mouvement... CPE et Doc tous sur postes vacants

sur BMP : 17 % = 60 stagiaires sur des supports de BMP à 15h, des congés formation, des départs en "programme Jules Verne" (à l’étranger), des CLD à mi-traitement, et même des CLD "à la réintégration incertaine" (sic !)

Essentiellement en collège

Affectation les 16, 17 et 18 août, sans intervention paritaire possible...

La liste des affectations est encore en voie de finalisation : on l’aura dans un délai de 8 jours...
La circulaire rectorale envoyée aux Chefs d’étab nous sera ensuite adressée.

2/ Compagnonnage : rien de nouveau sur les modalités prévues concernant les tuteurs :

- Les tuteurs auront 3 journées de formation : 1 en juin 2010, 1 avant la Toussaint, 1 en janvier 2011

- Ils auront la NBI de 10 points, une indemnité de suivi revalorisée + le fameux "coup de pouce rectoral", à savoir 3 HSE pendant les 7 premières semaines (où ils assurent 6 heures supp’ de compagnonnage...)

3/ Formation à l’IUFM : du NOUVEAU !!

A l’origine, étaient prévues 4 semaines (2 fois 2 semaines avant et après les vacances de février) ; les chefs d’établissement sont montés au créneau, au sujet des soucis de remplacement que cela leur causait, avec des étudiants en M2 sollicités...

Du coup, cela devient un mélange de stages "groupés" et "filés" :

 2 semaines du 8 au 20 novembre (remplacement assuré par des TZR ou des précaires)

 Une journée tous les 15 jours aux 2e et 3e trimestres (le jeudi sera obligatoirement déchargé pour cela, les 18h se répartissant sur les lundi, mardi, mercredi et vendredi)

Au final, les chefs d’établissement seront soulagés, en ce qui concerne le remplacement ; et les élèves n’auront dans l’année qu’un enseignant non formé...
Mais les stagiaires auront, eux, à partir de décembre, à assurer 18h de cours + 2 heures (puis une heure) de compagnonnage + une journée de formation par quinzaine à l’IUFM, soit un nouvel alourdissement de leur charge de travail par rapport aux 4 semaines prévues au départ !

4/ Intervention du SNES : absolue nécessité d’une décharge de service d’au moins 2 heures pour tous les stagiaires.
Réponse du Recteur : "ça ferait 700 heures-postes à trouver ; on ne les a pas" ; timide éventualité du Secrétaire général : "On peut adresser aux Chefs d’établissement la recommandation d’accorder une heure de décharge, à transformer en HSA." Or, c’est du temps, et non de la rémunération en Heures supp’, qui est demandé.


LILLE

Audience prévue avec la rectrice le 3 mai

Parmi les pistes qui circulent, la version "triplette" semble l’emporter (stagiaire et tuteur indissociables pendant les 6 premières semaines, le 3e membre de la triplette étant un remplaçant qui ira alternativement dans les classes de l’un ou de l’autre (!!!)).

Sur les 216 h de formation, 4 semaines (= 72 h) sont prévues en centre de formation. Les heures restantes seront répartis en stages PAF (dont l’attribution ne se fait pas avant octobre), la présence du tuteur ou du stagiaire au fond de la classe (environ 80 h). Cerise sur le gâteau, la journée d’accueil fin août, ainsi que la journée que le stagiaire doit passer avec le chef d’établissement quelques jours avant la rentrée seraient décomptées des 216 h (!!!), alors que le stagiaire ne sera officiellement stagiaire que le 1er septembre ....

POITIERS

Les stagiaires seront sur des services de 16H devant élèves.
Le rectorat a repéré les BMP de 14 à 18H pour y affecter des stagiaires, en ramenant ces BMP à 16H. Le stagiaire a un jour libre dans son emploi du temps, certainement le vendredi.
Il libère ainsi 35 postes, sur les 231 bloqués.

Certaines contraintes sont prises en compte pour choisir les lieux d’affectation :

 perdre le moins d’heures sup

 pas trop de stagiaires dans le même établissement

 pas de stagiaire sur 2 établissements

 pas de stagiaire isolé, c’est-à-dire seul dans sa discipline, dans l’établissement

Plan de formation en 3 périodes :

 de la rentrée à la Toussaint : « compagnonnage serré » par un tueur qui est présent 5 à 6h par semaine dans la classe du stagiaire. Le tuteur assure ces heures en HSE ou il est remplacé partiellement par un TZR !

 De la Toussaint à juin : « compagnonnage plus léger » et stage filé un jour par quinzaine (vendredi).

 En fin d’année : stage massé d’une ou deux semaines (vraisemblablement pour caser les stages de M2).
L’objectif du rectorat est de générer le moins possible de besoins de remplacement.

Actuellement, l’IPR d’EPS, est en train de finaliser le dispositif et de bâtir le plan de formation (contenus et intervenants), sur la base du projet de cahier des charges de la formation. Le rectorat est en attente de la publication de ce cahier des charges et du texte fixant les modalités de validation du stage. La principale difficulté actuellement est de trouver les intervenants pour les stages de formation des stagiaires.


Actualisation du 6 avril

LILLE

Toujours rien d’officiel à Lille (audience prévue avec la nouvelle rectrice le 3 mai). Nous ne savons donc pas comment va se dérouler la formation, ni quand seront contactés les tuteurs.

Les rumeurs font état de 2 possibilités :
 solution 1 : un remplaçant est affecté en surnombre et remplace alternativement le stagiaire ou le tuteur pendant les 6 premières semaines, le tuteur et le stagiaire formant un binôme indissociable (faut-il faire des commentaires sur la faisabilité et la continuité pédagogique ?)
 solution 2 : le stagiaire ne prend ses classes qu’à la rentrée de la Toussaint, il passe les 6 premières semaines avec son tuteur et est remplacé.

LYON

 371 stagiaires attendus
 postes bloqués (environ 200) et le reste en BMP
 formation : 4 semaines massées et une en stage du PAF. Les 7 autres semaines ne sont donc pas en décharge mais au-delà des ORS, sous forme d’un forfait d’une 100 aine d’heures avec le tuteur.
 Stagiaires donc à 18 h
 Tuteurs déchargés de 3h jusque la Toussaint (ou en HSE) pour aller dans les classes du stagiaires. Rémunération en cours de réflexion par le ministère donc pas de réponse.

GRENOBLE

344 stagiaires (PLC, CPE et PLP) avec des supports à temps plein dans les collèges ZEP de l’académie et en Ardèche, à Chamonix, à plus de 100 km des universités et des étudiants iront sans doute remplacer les stagiaires (les stagiaires pourront former les étudiants 108h pendant deux semaines avant de laisser leurs classes)

Voir site

CLERMONT

C’est ici


Ajout du 21 mars

CRETEIL

857 stagiaires sont affectés à Créteil, dont les CPE, ce qui signifie 857 tuteurs, car un tuteur n’aura qu’un seul stagiaire, dans la mesure du possible.

Les stagiaires sont affectés sur des supports complets avec obligation réglementaire de services selon les corps (enseignants, CPE, docs). On répartira les stagiaires de manière équivalente selon les établissements, pas de nomination en « ambition réussite », pas de service partagé sauf exception, répartition des services en évitant les classes les plus difficiles et les classes à examen dans la mesure du possible, limitation du nombre de niveaux d’enseignement. S’ils sont titularisés, ils participent aux deux mouvements comme les stagiaires actuels.

Sur les modalités de formation :

 Accueil le 25 août sur la base du volontariat avec un système d’indemnisation, car le stagiaire n’est nommé que le 1er septembre. Une partie logement et social sera présente pour aider les stagiaires à s’installer. A priori pas encore théorique mais plus sur la prise de classe immédiate et sur la préparation des cours 30 et 31 août). Les inspecteurs y seront associés.

 1er septembre : prérentrée dans les établissements.

 Accompagnement dans la classe par un professeur-tuteur tout au long de l’année, si possible de l’établissement ou d’un bahut proche. Ce tuteur sera rétribué selon des modalités nationales, non encore fixées. Il sera plus intensif en septembre-octobre. Le tuteur sera présent dans la classe une demi-journée par semaine au minimum et rétribué par 3 HS. Les professeurs partant en retraite avant le 1er décembre quitteraient leurs postes et s’occuperaient des stagiaires jusqu’à leur départ en retraite.

 Un deuxième temps intensif d’accompagnement aura lieu entre février et pâques pour accueillir les étudiants en M2. Le rectorat fait le choix que l’étudiant master viendra dans la classe du tuteur pendant une semaine. Pendant deux semaines, le tuteur laissera sa classe à l’étudiant M2 et retournera s’occuper de son stagiaire. La quatrième semaine, il revient dans la classe en présence du tuteur pour faire le point. Cela doit être calé avec les présidents d’universités, les négociations ont commencées.

 Le stagiaire pourra bénéficier de deux heures de décharge hebdomadaire, s’il est certifié uniquement. Le modèle est le modèle néotitulaire, qui serait maintenu pour les néos par ailleurs. Les deux heures supplémentaires sont possibles mais on ne peut pas aller au-delà de 18h d’enseignement de toute façon !

 Ces deux heures sont les 72 heures annuelles de temps de formation, qui seront sur une journée par semaine filée. Les jours seront fixés par discipline, comme cela est fait pour les néotits maintenant.

 Une semaine de regroupement aura lieu au cours du 1er trimestre (forme reste à voir). Les stagiaires pourront ainsi participer aux stages du PAF pour une durée d’une sepaine maximum.

Sur l’implantation des supports, on a 857 places à trouver ==> on mobilisera l’apport en tutorat des anciens stagiaires IUFM, on regardera de près les BMP, on offrira si besoin des postes définitifs mais qui ne seront pas supprimés. ==> les ¾ seront trouvés avant le 12 mai. Le 28 juin, on fera le solde de ce qui manque. Le 25 août, on terminera l’affectation des stagaires.

le dispositif repose sur le compagnonnage, et l’on jouera sur le dévouement des collègues. On fera aussi appel aux professeurs attachés de l’IUFM qui font des visites maintenant, ce qui développerait un réseau de visiteurs si les difficultés des stagiaires sont fortes, pour faire des visites-conseils. Les tuteurs seraient formés en mai de cette année. Le secrétaire général a reconnu que le travail sera difficile pour les tuteurs et pour les stagiaires en début d’année.

DIJON

ajout du 21 mars

 Combien de stagiaires "IUFM" sont prévus à la rentrée 2010 ? 212

 Quel temps de service pour les stagiaires ? 18h

 Quelle formation pour les PLC2 ? Stages filés, massés,...? 6 semaines autour des vacances de février, possibilité de participer à des stages du PAF pendant 6 jours, le mercredi libéré pour le stagiaire et le tuteur

 Quelle rémunération pour les tuteurs ?
on ne sait pas mais ils sont à mi-service de la rentrée jusqu’aux vacances de la Toussaint

ORLEANS TOURS

ajout du 21 mars

 Combien de stagiaires "IUFM" sont prévus à la rentrée 2010 ? 351

 Quels types de supports ? (BMP, postes vacants, postes réservés et sortis du mouvement, ... ?) Postes vacants "réservés" avant le mouvement intra, mais dont on n’aura connaissance qu’après les vacances de Printemps, et BMP correspondant à l’ORS du stagiaire (18h ou 15h) ; axe ligérien (Orléans, Blois, Tours) privilégié.

 Quel temps de service pour les stagiaires ? 18 heures sur toute l’année (sauf pendant les 4 semaines de formation, voir ci-dessous)

 Quelle formation pour les PLC2 ? Stages filés, massés, ...? 216 heures (tiers temps), réparties ainsi : 18 heures avant la rentrée + 78 heures avec le tuteur + 120 heures de formation à l’IUFM, c’est-à-dire :

1) Une "semaine"d’accueil, à compter du lundi 30 août, en fait une journée dans le bahut (question sans réponse : qui, en dehors de la direction, pour les "former" durant cette journée ??), et deux journées de grand messe à la Fac, avant la pré-rentrée... = 18 heures de "formation"

2) 7 semaines d’accompagnement "fort" (sic !) par le tuteur, non déchargé, jusqu’à la Toussaint, à raison de 6 heures par semaine = 42 heures de "formation" (y compris les heures d’observation de l’un ou de l’autre, donc...) ; emplois du temps à faire concorder + créneaux d’entretiens stagiaires/tuteurs à trouver et à ajouter au temps de travail ? Une paille !

3) 7 semaines d’accompagnement "moins fort" par le tuteur, de 2 heures par semaines, jusqu’aux vacances de Noël = 14 heures de "formation"...
Les 22 semaines restantes d’accompagnement très léger, de 1 heure = 22 heures de "formation"

4) Pour les 120 heures de formation à l’IUFM : 2 stages groupés de 2 semaines chacun, l’un avant les vacances de février, l’autre après ces vacances, pour 80 heures de "tronc commun" et 40 heures de "formation personnalisée" (exploration ou approfondissement, selon le choix du stagiaire ?!).
Pour le remplacement du stagiaire pendant ces deux semaines : possibilité de recourir à des étudiants de master 2 "ayant déjà une expérience d’enseignement, donc présentant toutes les garanties -sic !-".

 Quelle rémunération pour les tuteurs ? En heures supp’, plus une NBI (fixée nationalement) + un coup de pouce supplémentaire généreusement offert par notre Rectorat (!!).

CLERMONT-FERRAND

lors du CTPA, le secrétaire général du rectorat a présenté un projet d’affectation des stagiaires pour l’an prochain :

 les 2 premiers mois les stagiaires seraient en formation et remplacés dans les établissements par les TZR qui ne seront pas en AFA (335 cette année sur 650 environ).

 après ces 2 mois et jusqu’en janvier, février en responsabilité 18 h devant les élèves,

 puis 1 mois de formation pendant lequel ils seront remplacés par les M2 admissibles

 enfin, retour en classe jusqu’à la fin de l’année scolaire

Pas de reponse à nos questions :
 sur quel support seront-ils affectés ? postes non mis au mouvement, BMP ? les 2 ?
 quid des disciplines pour lesquelles le nombre de TZR est très insuffisant ? des vacataires ou des contractuels ?
 Comment vont se faire les remplacements des personnels durant ces 2 mois, actuellement effectués par des TZR ? recours accru aux non titulaires ?

ORLEANS-TOURS

Suite au GT-Intra d’hier : Concernant les « lauréats de concours »
(ainsi appelés, à la place de "stagiaires").

L’hypothèse de travail actuelle est la suivante :

1. Affectation sur un poste complet (15h, 17h, 18h, 20h selon les
corps : agrégés, certifiés profs EPS) ;

2. Des postes seront « réservés » (2/3 postes fixes et 1/3
BMP) ; « l’objectif-cible actuel » serait de 320-330 ETP !

3. Où ? Aucun département ne sera exclu. Cependant, l’axe ligérien
(Tours, Blois, Orléans) sera privilégié ainsi que les établissements
autour du chef-lieu du département. Les agrégés seraient affectés en
lycées, les RAR et les compléments de service exclus. Par ailleurs, il
serait bon qu’un « professeur chevronné » puisse être présent dans
l’établissement ou dans un établissement proche.

L’administration est en train de constituer la liste des établissements
susceptibles d’accueillir un stagiaire. Le SG souhaite stabiliser ce
réseau d’établissements, afin de ne pas le revoir chaque année (donc
des petits collèges "condamnés" à faire vivre chaque année un tandem
"tuteur - lauréat de concours", dans les disciplines telles que SVT ou
Physique-Chimie...)

L’état des travaux sera présenté au CTPA du 17 mars. Il sera temps, le serveur ouvre le 19 mars, et il n’est pas sûr que les postes indiqués comme vacants ne soient pas au final parmi les postes « réservés » (pour ne pas dire « bloqués »), et donc éventuellement pour plusieurs années.

BORDEAUX

Lauréats des concours nommés sur des postes à 18 heures (pas plus de précision pour l’instant).

Prise des classes en mains par le stagiaire durant les 15 premiers jours de septembre avec l’aide de son tuteur.

Durant les 6 semaines avant la Toussaint formation massée (où ? par qui ?)

7 décharges IUFM seraient supprimées.

Début novembre aux vacances de février le stagiaire fera cours 18 heures
Retour des vacances 6 semaines de formation.
Fin avril reprise des classes jusqu’à la fin de l’année.

Première période de remplacement serait effectuée par des TZR ou des vacataires entre septembre et octobre.
la seconde par des étudiants se destinant aux concours.

AMIENS

 les stagiaires seraient affectés non pas sur des POM mais sur des BMP implantés en fonction de la présence d’un conseiller pédagogique ;

 leur formation serait un mélange de formation « groupée » et de formation « filée »

 pour la formation groupée : une semaine à l’IUFM entre le 25 août
et la rentrée (avec le problème de la rémunération des stagiaires, dans la
mesure où ils ne sont nommés qu’au 1er septembre : ils devraient être payés en vacation), puis 4 semaines jusqu’au 27 septembre à la fois à l’IUFM et dans les établissements auprès des conseillers pédagogiques

 pour la formation filée : les stagiaires seraient affectés sur des services de 15 h à partir du 27 septembre, jusqu’à la fin de l’année, avec des journées de formation dans un rythme d’environ une journée toute les deux semaines.

MONTPELLIER

le rectorat envisage de faire passer les "Plc2"à 18h globalisées selon le dispositif suivant : 6 semaines de la rentrée à Toussaint, le Plc2 est avec son tuteur qui l’accompagne dans son service. Les classes du tuteur sont prises par un TZR ou un contractuel. le Plc2 a aussi une formation pédagogique (IUfm ou autre)

Puis x semaines, Plc2 fait 18h

En février, pour 5 semaines, le Plc2 a une formation pédagogique. Sa classe est prise par les étudiants admissibles au Capes (stages 108h). Puis le Plc2 reprend ses classes (18h) jusqu’à la fin de l’année

Gain pour le rectorat : 250 (nombre de Plc2) * (18 - 8) = 2500 heures, soit environ 140 postes

AIX MARSEILLE

Il semble par contre que la décision est prise pour les stagiaires de les affecter sur des postes à 18 h avec 12 semaines de formation à répartir dans l’année (pendant lesquelles ils seront remplacés par les étudiants 108 h).

POITIERS

Système similaire à Poitiers même si on n’a pas encore une description aussi précise du dispositif.

Les stagiaires post concours seraient sur des supports 18h et seraient remplacés pendant leurs 12 semaines de formation professionnelle par des contractuels peut-être (mais c’est une denrée de plus en plus difficile à trouver chez nous) ET surtout par des étudiants master 108h.

Apparemment tout n’est pas complètement arrêté mais ce serait "techniquement la meilleure solution" (sic). Actuellement le rectorat fait appel à pôle emploi pour trouver des remplaçants, les IPR font passer aux candidats des entretiens : ils y passent un temps fou (ils sont "contraints" de recruter des gens qui n’ont pas de licence dans la discipline à enseigner).

En off et à l’interne, la rectrice dit qu’on lui demande de rendre 180 postes, or le chiffre officiel est -24, donc mettre les stagiaires à 18h devrait faire gagner quelques 156 postes.

CRETEIL

des informations recoupées montrent que le rectorat de Créteil travaille sur l’affectation des lauréats sur des postes de 18h, avec une formation "massée" en mars-avril (5 semaines).

TOULOUSE

Modification du 19/01 :

début d’année en présence du tuteur qui abandonne ses classes au profit d’un TZR, ou d’un contractuel, puis prise en main de la classe seul. Ces deux périodes à 18h. Puis départ en formation, remplacé par un ou deux stagiaires 108h. Retour enfin à 18h de l’heureux lauréat de concours.

Ca c’est l’hypothèse idéale. Sinon, les jours de formation payés en HS.

Les stagiaires seront affectés sur des BMP (éventuellement à cheval) ou des postes fixes (environ 120-130 nécessaires)